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l’Église catholique réagit-elle ? En codifiant l’
état de choses
antérieur. Donc l’Église continue à faire des saints, tandis que ce t
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inouïes, c’est le signe d’une complicité avec un
état de choses
funeste pour l’Esprit. Si l’Esprit nous abandonne, c’est que nous avo
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squ’ici à une rhétorique très brillante contre un
état de choses
justement détesté, mais dont ils participent plus qu’ils ne le croien
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t. L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun
état de choses
. Il est pour le « mieux » contre le « bien ». Sans lui l’humanité s’a
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viens aussi de l’état d’esprit qui entretient cet
état de choses
et qui ne cesse de l’aggraver : c’est celui de l’école primaire et de
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-t-il le droit de rêver ? Que faire alors, dans l’
état de choses
qui s’offre à nous ? De l’action « sociale » ? C’est dans ce sens que
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t créateur. Tout acte créateur fait violence à un
état de choses
, qu’il s’agisse d’élever des blocs de pierre à la hauteur d’un cintre
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t créateur. Tout acte créateur fait violence à un
état de choses
, qu’il s’agisse d’élever des blocs de pierre à la hauteur d’un cintre
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ncore, de la condition faite aux écrivains par un
état de choses
libéral certes, mais anarchique, et dominé par les seules nécessités
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mune. Mais toute nouveauté « fait violence » à un
état de choses
donné ; réduire ou surmonter des antagonismes, c’est leur « faire vio
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, pour y réaliser ses vues, il fait violence à un
état de choses
. Et ceci dans n’importe quel domaine, qu’il s’agisse d’élever des blo
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rti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet
état de choses
, qui voue les « clercs » à s’agiter dans le vide — ce qui est malsain
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rti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet
état de choses
, qui voue les « clercs » à s’agiter dans le vide — ce qui est malsain
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ue comptez-vous faire contre ces gens, contre cet
état de choses
? — On ne peut rien faire. Et en tout cas, je suis déjà trop vieux. —
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ue comptez-vous faire contre ces gens, contre cet
état de choses
? — On ne peut rien faire. Et en tout cas, je suis déjà trop vieux. —
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rti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet
état de choses
, qui voue les « clercs » à s’agiter dans le vide — ce qui est malsain
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ue comptez-vous faire contre ces gens, contre cet
état de choses
? — On ne peut rien faire. Et en tout cas, je suis déjà trop vieux. —
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viens aussi de l’état d’esprit qui entretient cet
état de choses
et qui ne cesse de l’aggraver : c’est celui de l’école primaire et de
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ngère à l’homme du peuple. Comment remédier à cet
état de choses
, qui peut devenir désastreux pour l’Europe ? L’exemple des guildes du
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ce me semble, aucun motif de conserver un pareil
état de choses
… Rien ne milite en sa faveur, pas même la raison, d’ailleurs bien fai
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, un nouveau Pacte fédéral consacra le retour à l’
état de choses
prérévolutionnaire. Il restaurait la pleine souveraineté des cantons,
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ce me semble, aucun motif de conserver un pareil
état de choses
… Rien ne milite en sa faveur, pas même la raison, d’ailleurs bien fai
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us souffrons rien qu’à nous représenter un pareil
état de choses
! L’inquiétude de la découverte et de la divination a pris pour nous
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us souffrons rien qu’à nous représenter un pareil
état de choses
! L’inquiétude de la découverte et de la divination a pris pour nous
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du beau idéal de la civilisation : c’est dans cet
état de choses
qu’on eût trouvé plus de chances d’amener partout l’unité des codes,
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rnements nationaux sont aux individus : un pareil
état de choses
est le seul qui puisse tout réparer. Je ne prétends pas sans doute qu
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e : tertium non datur : Je pose la question : un
état de choses
peut-il passer pour durable, alors que les faits sont en contradictio
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t unitaire, nous n’en devrons pas moins changer l’
état de choses
présent. Tertium non datur… Si un tel changement s’accomplissait, on
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qu’est-ce que la paix ? La paix est, peut-être, l’
état de choses
dans lequel l’hostilité naturelle des hommes entre eux se manifeste p
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dans l’anarchie internationale, sans qu’un pareil
état de choses
conduise à la plus terrible catastrophe politique, économique et cult
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eurs étrangers, témoins directs et objectifs de l’
état de choses
qui règne en Suisse à la fin de la période patricienne. À Bâle, note
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t fédéralistes que ne l’était, en somme, l’ancien
état de choses
? Les cantons et leur « souveraineté » L’indigénat d’une commun
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le faisant avancer de quelques pas, améliorer un
état de choses
où de nouveaux progrès ne sauraient être de trop, même dans les armée
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de révolutionner mais simplement « d’améliorer l’
état de choses
», d’ailleurs révoltant, que l’on vient d’évoquer avec une émotion si
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ons, parce qu’il semblerait légitimer par trop un
état de choses
regardé aujourd’hui comme abominable. Déclaration pour le moins éton
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dans l’anarchie internationale sans qu’un pareil
état de choses
conduise à la plus terrible catastrophe politique, économique et cult
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arce qu’on sent qu’elles remettent en question un
état de choses
dont on ne peut plus répondre. Mais survient le philosophe, qui met l
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il savait, même lorsqu’il se révoltait contre cet
état de choses
, qu’il ne pouvait déserter un tel combat qui lui était, en un sens, c
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équipe et non d’un troupeau. La définition de cet
état de choses
est devenue la devise des Suisses dès le Moyen Âge, « Un pour tous et